Le blog de triviale-cavale.erog.fr

L'été j'ai un côté un peu "exhibe". Comme je ne suis pas trop mal foutu, du genre baraqué, j'aime me balader torse nu et en pantalon de survêt que je porte en dessous de la taille, quasi à ras de mon pubis.
C'est sûr je ne laisse pas indifférent une fois caché derrière des lunettes noires, roulant de mes larges épaules, pectoraux et "abdos" contractés. Mecs et nanas se retournent sur mon passage et sans chercher à me vanter, je n'ai aucun mal à emballer. J'en profite un peu d'ailleurs, mais faut bien que jeunesse se passe et puis j'ai toujours le feu dans le calcif. Je bande en permanence, bon avec quand même des périodes de repos, faut pas exagérer. Mais si je n'ai pas mon cul journalier à bourrer, j' suis obligé de me branler, parfois matin, midi et soir, mes 20cm ne me font jamais défaut. Je suis une force de la nature en somme. Mais, bon, assez parlé de mes prétendus talents, car si les fées se sont penchées sur mon berceau, y'a quand même une ombre au tableau : primo, je n’ai pas vraiment de chez moi, je loge dans une vieille caravane qui pue le moisi. Ça fait reculer parfois mes conquêtes, mais y'en a d'autres que ça excitent. Secundo, je n’ai pas de boulot non plus. Alors quand vient le beau temps je cherche des jobs d'extérieur à gauche, à droite. Dernièrement j'ai été vacher ! Ben ouais, y'a pas de honte. C'était plutôt sympa de s'occuper des vaches, surtout quand on peut aussi s'occuper du grand fils du fermier qui vous a embauché...
On était courant juillet. Depuis deux jours donc, je travaillais pour le compte d'un agriculteur. Un costaud frisé toujours mal rasé, qui passait le plus clair de son temps aux champs.
Moi, comme je viens de le spécifier, mon rôle consistait à garder les vaches, et ce n’est pas de tout repos ! Faut les foutre en pâture, torcher leur étable, leur préparer un nid douillet avec de la paille, leur donner à bouffer, enfin tout ça quoi... et bien sûr les traire grâce à une énorme machine, mais bon, la tâche revenait à M., le fils, un blondinet aussi grand que mince, de 19 ans. Avec les quelques boutons qu'il avait sur la tronche, il avait l'air d'un minet. Un joli minet qui fleurait bon le puceau.
J'ai tout de suite senti que je lui faisais de l'effet. Rien qu'à sa façon de me reluquer quand à l'intérieur de l'étable on étendait la paille et le foin à la fourche : tête dans ses godasses mais les yeux rivés sur mes muscles ou mon cul. Faut dire que j'en faisais des tonnes aussi pour le troubler. J'hésitais pas à baisser un peu plus encore mon futal, de sorte que de dos il ne pouvait louper le début de ma fente et de face ma bite bien droite prête à déchirer le tissu qui la retenait ; ou encore sous prétexte d'éponger ma sueur, je prenais une poignée de foin et je me caressais la nuque, les aisselles et le torse langoureusement.
J'étais certain qu'il bandait comme un malade sous son épaisse salopette qui lui cachait tout le corps et dans laquelle il crevait de chaud.
J'aurais bien voulu jouer un peu avec lui, l'amener à me tailler une pipe ou même rien qu'une branlette dans un premier temps. Seulement il était plutôt du style grand timide, il ne causait pas beaucoup. Je ne savais pas comment m'y prendre sans qu'il s'effarouche.
Ce jour là je lui ai demandé pourquoi, puisqu'il ruisselait de sueur, il ne portait pas des vêtements plus légers.
Il m'a répondu qu'il n'en avait pas.
Je me suis alors approché de lui en lui suggérant de se dénuder au moins jusqu'à la taille, et j'ai commencé à tirer sur la fermeture éclair.
Il n'a pas bronché. J'ai baissé la fermeture jusqu'au nombril et j'ai glissé une main entre les pans du vêtement. Il a tressailli et rougi. Son torse était brûlant et trempé de sueur et d'après ce que mes doigts devinaient plutôt maigre mais bien dessiné, lisse et tendu.
Bien sûr je ne me suis pas contenté de rester en surface ; j'ai plongé la main dans son slip. Wow, wow, wow... ça me semblait bien gros tout ça et surtout c'était très humide aussi : il n’aurait pas manqué grand chose pour qu'il me savonne la main avec son lait de puceau, le salop. Seulement le moteur d'un tracteur à ronronné dans la cour ; son père rentrait. J'ai tout arrêté.
Parce qu’on n’avait pas abattu la somme de travail habituel on s'est fait un peu rudoyer. On a terminé le boulot à trois, avant que M. ne se mette à la traite. Son père, comme j'étais crade et que je sentais quand même le fauve, m'a autorisé à prendre une douche avant de rentrer chez moi. C'est ce que j'ai fait, avec un réel plaisir en me tripotant et en braquant le jet sur ma bite en feu car j'étais vraiment allumé, moi, maintenant, à en crever un coussin.
J'avais laissé mon futal et mes skets dans le couloir, j'étais donc à poil en sortant de la salle de bain. Surprise ! Le père attendait son tour derrière la porte. Lui aussi avait quitté tous ses vêtements, hormis un slip kangourou blanc. Un beau mâle, viril, et bien bâti. On s'est regardé avec un certain intérêt, il a louché sur ma bite. Puis il m'a dit : "Salut à demain". Visiblement il ne tenait qu'à faire sa toilette. Le couloir étant assez étroit, lorsqu'on s'est croisé, nos torses se sont effleurés, sa toison épaisse à chatouillé ma poitrine et ma bite à frotté contre sa cuisse velue. Bon sang ! C'était trop ! J'en pouvais plus cette fois. J'ai enfilé mon futal et mes skets et je suis rentré à la caravane. Là, la paillasse sur laquelle je dors est en vérité deux épais matelas individuels serrés l'un contre l'autre, transformables en banquette. j'ai sorti ma bite et l'ai enfoncé dans le creux laissé par les bords, il m'a suffi de quelques bon coups de reins pour faire couler mon jus. La nuit venue j'ai recommencé en songeant que j'empalais, tour à tour, le père et le fils.
Le lendemain j'avais en tête de continuer là où j'avais été interrompu la veille. Mais M. avait un truc à faire au village et il m'a planté là.
J'ai travaillé comme un forcené et mon boulot accompli, en l'absence de chacun je me suis offert une petite sieste à l'abri des ballots de paille dans la grange.
A un moment j'ai senti quelque chose contre moi, quelque chose d'agréable, de bouillonnant. J'ai ouvert les yeux pour découvrir mon minet complètement nu couché sur moi, la tête posé sur ma poitrine qu'il caressait en tremblant.
J'ai dit : "Tu es bien comme ça ?"
- Oui...
- Si tu le voulais tu pourrais encore être mieux, tu sais.
Il a dit : "Montre-moi !"
Je ne me suis pas fait prier, j'ai basculé sur lui et je l'ai embrassé en cajolant son corps tout mince. Puis j'ai couvert son torse de baisers. Quand je suis passé sur ses tétons, il a retenu ma tête pour que je m'y attarde.
Je suis descendu lentement vers sa queue. Charnue, d’une bonne longueur bien raide et bien dure, elle ne demandait qu'à être sucée. Le gland était entièrement décalotté et gonflé à bloc. Quant aux couilles, elles étaient pleines à craquer. J’allais me régaler.
Avant que je l'entreprenne, il a fait : "J'aimerais goûter à la tienne en même temps."
No problème ! J'ai enlevé mon futal et me suis mis en position ; un joli "69". J'ai glissé ma bite dans sa bouche et j'ai absorbé la sienne.
Il ne s'y prenait pas mal du tout, en plus qu'il trifouillait gentiment dans mon cul.
Si je n'y avais pris garde il aurait pu se gaver de ma purée en un rien de temps, comme moi j'ai savouré la sienne un peu trop tôt, car à peine pompé il s'est vidé dans ma bouche en longues giclées.
Je me suis allongé à ses côtés tandis que je mastiquais son sperme afin d'en garder le plus longtemps possible, le goût.
Il s'est excusé.
- C'est pas grave, j'ai répondu, c'était pour se mettre en appétit mais maintenant on va passer aux choses sérieuses. Tourne-toi !
Il s'est couché sur le ventre en disant : "Vas-y doucement, je l'ai jamais fait..."
Il était touchant.
Je l'ai rassuré : "T'inquiète, je vais prendre soin de toi, tu en redemanderas."
Et c'est ce que j'ai fait, de toutes façons son cul était si beau, qu'il ne méritait pas d'être abîmé.
J'ai préféré qu'il se mette à quatre pattes afin que j'aie plus de prise. En levrette quoi !
J’étais salement excité mais je voulais faire dans la dentelle. Je l'ai travaillé longuement, surtout avec les doigts pour déblayer franco.
M. était rouge de fièvre et il gémissait de plus en plus fort au fur et à mesure que sa rosette se dilatait. Et quand ça ne lui faisais pas que du bien, je compensai avec la langue, une langue bien épaisse, raclant le pourtour de son fion comme on lèche le fond d'un cornet de glace rempli de chocolat.
Finalement, j'ai présenté ma queue entre ses fesses et l'ai pénétré sans brusquer du bout du gland.
Il s'est contracté par réflexe et puis s'est laissé aller... moi aussi.
Là, mes 20 cm ont été engloutis.

J'ai limé à bas rythme et c'était drôlement bon de le limer comme ça, tout en douceur, c'était torride à l'intérieur et si tendre à la fois. C'était comme si j'avais trempé ma bite dans du velours chaud. Vraiment, un puceau de premier choix.

Difficile en pareil cas d'assurer l'endurance ; trop bon !


Lorsque je l'ai prévenu que j'étais sur le point de jouir, il m'a dit : "Non, pas maintenant, continue encore un peu, j'aime trop ça."
J'ai obéis mais je n'ai pas su me retenir beaucoup plus longtemps ; j'ai giclé en dehors de lui, un tir longue distance, il s'en est pris dans les cheveux ; et comme je ne débandais pas tout de suite, je l'ai pénétré à nouveau et limé encore un peu pour son plus grand bonheur. Son cul, c'était du beurre maintenant.
On s'est endormi après une longue succession de câlins.
J'ai fait l'amour avec lui quasi tout l'été, toujours tout en douceur et puis je suis parti vers d'autres aventures.

Sam 14 mai 2011 Aucun commentaire