Dimanche 19 décembre 7 19 /12 /Déc 16:09

Mon dernier plan Q, fut un énième fiasco mémorable, dont l'issue s'avèra cependant heureuse.
Je m'explique : à 25 ans, je n'avais encore connu que des aventures sordides dont la concrétisation au pieu se limitait au touche pipi, du fait que mes partenaires, tant je m'appliquais, me jutaient dessus avant même que je pusse quitter mon slip.
Or, à chaque fois, j'avais l'envie furieuse de me faire défoncer.
Une fois de plus via le net, j'avais fait la connaissance d'un soi disant étalon, racé comme un hidalgo, endurant voire infatigable.
Nous nous étions donné rendez-vous à l'orée d'un bois non loin de chez moi.
La journée avait été chaude, le temps tournait à l'orage.
Il m'attendait déjà au lieu dit dans son Alpha, quand j'entrai au volant de ma caisse à savon, dans le chemin de terre battue, quasi impratiquable, qui menait à la futaie.
Forcément impatient, je me garai à moyenne distance là où j'estimai qu'il était plus prudent de stationner pour ne pas rester en rade au moment du retour, 
Les premiers éclairs fissurèrent le ciel et c'est bien ce même ciel qui me tomba sur la tête, quand mon pseudo bellâtre à mon approche descendit de bagnole : l'étalon ressemblait davantage à un cheval de traie en fin de carrière ; le bide par dessus bord, le cheveu rare et gris, fagoté comme un bouseux.
- Il doit y avoir erreur sur la personne, dis-je.
Il s'était approché en m'adressant un sourire édenté : Min non, c'est bien moi !
- Euh... ce n'est pas vraiment ce à quoi je m'attendais, d'après les pics que tu m'as laissées...
- Bah, j'ai triché un peu, mais c'est pas grave.
Si ça l'était, parce que là, c'est sûr y'avait pas moyen.
L'orage gronda et déchargea quelques gouttes.
Je m'apprêtais déjà à tourner les talons sans demander mon reste, quand il sortit de son pantalon de jogging un insignifiant bout de viande fripé.
- Puisque t'es là, lanca-t-il, maintenant suce !
Et en faisant pression avec ses sales paluches sur mes épaules, il me forca à m'agenouiller, allignant son immonde bite face à ma tronche.
Chienne, ok ! Mais pas à n'importe quel prix.
Je me redressai illico et l'envoyai chier d'un fabuleux connard du fond des tripes.
Je fis volte-face  et repartis en direction de la voiture.
Maintenant c'était l'averse et une sacrée ! Ça tombait comme des hallebardes, le tout ponctué d'eclairs et de tonnerre.
Ce trou du'c se lanca à mes trousses, je me mis à courir. Le chemin était devenu en un rien de temps un vrai marécage.
A moins d'un mètre de ma voiture, je me cassai la gueule en beauté. Mais comme mon assaillant gagnait du terrain, je ne pris pas le temps de me plaindre ; je me relevai d'un bond, montai à bord et démarrai en trombe.

J'étais trempé, une intense douleur me vrillait le genou droit En y jetant un œil je me rendis compte qu'au travers la pluie et la boue qui souillaient mon pantalon, une énorme tache rouge se répandait.
Pas la peine d'ergoter, direction les urgences...
Y'avait pas grand monde. Ce fut rapide.
Je ne vois plus qui m'installa dans l'une des salles, et après avoir patienté seul allongé sur une table d'examen, un interne vint s'enquérir de mon sort.
Beau gosse !  Putain de beau gosse !

Grand, mince, les cheveux en pointe, une moustache éparse et un regard sombre. Trente ans au plus.

Un fin duvet noirâtre émergeait du col en "v" de sa tenue d'infirmier.

Mauvaise chute ? demande-t-il d'un sourire narquois.

J'acquiesce

- Je suis désolé, mais pour soigner votre blessure, je vais devoir découper votre pantalon.

Il s'empare d'une paire de ciseaux et joue des lames sans se départir de son sourire, histoire de me bien me faire comprendre qu'il me faut définitivement  renoncer à mon futal.

Il ote mes pompes, et délicatement mes chaussettes.

Puis d'un coup de ciseaux expert, commence à échancrer mon jean.

Je frisonne au  contact de la lame glacé sur ma peau, mais mieux encore, subitement, je bande.

Son sourire se précise, de toute évidence il s'aperçoit de ma mue.

A hauteur de ma cuisse il s'arrête. Ecarte les pans de tissus, saisis un pince avec laquelle il imbibe un tampon de je ne sais quoi, et désinfecte ma plaie.

Je tressaille tandis que ça me pique.

- Oh! s'inquiète-t-il, je t'ai fais mal ?

- Non ça va, c'est déjà passé.

Il se penche vers moi et d'un sourire encore plus taquin : De toute façon, il semble n'y avoir rien de grave, juste une égratignure... mais je voudrais quand même m'en assurer en pratiquant un examen plus approfondi, ça ne te dérange pas ?

- ... Non.

- Je reviens, je vais chercher un médecin.

 

Il disparait un bref instant et revient en compagnie d'un chauve proche de la quarantaine, un peu plus grand que lui, barbu et large d'épaule, un rien engoncé dans sa blouse verte.

Il me salue et dit sans même lorgner sur ma blessure : je crois que vous avez besoin d'un examen approfondi.

D'un clin d'œil entendu il invite l'infirmier à passer aux choses sérieuses qui, à cet instant encore, pour moi, ne peuvent avoir aucune autre connotation que médicale.

Si j'avais su alors ce qui m'attendait, eh bien, je n'aurais de toutes façons pas pris mes jambes à mon cou...

L'infirmier attrape à nouveau sa paire de ciseaux et reprend la découpe de mon jean là où il l'avait abandonnée et ce jusque la ceinture. Il bifurque ensuite vers la braguette et cisaille tout son contour ; je bande comme un malade, la lame frôle mon sexe, je ne peux m'empêcher de penser que d'un dérapage il pourrait l'entailler. Mais cette perspective m'excite plus encore, tandis que je l'imagine stopper l'hémorragie en me suçant.

Il s'attaque ensuite à mon t-shirt, le sectionnant de bas en haut, pendant que le barbu, retire sa blouse en disant : je vais fermer la porte à clefs...

Là, je prends réellement conscience de la nature de mon examen approfondi ; c'est sûr, je vais en prendre plein le cul.

Il a un torse épais, velu à souhait, des pectoraux puissants que nourrisson j'aurais certainement préféré au sein maternel. Un bear d'excellente facture.

La découpe terminée, l'infirmier se déssape à son tour, se fout à poil en deux temps trois mouvements ; lui c'est autre chose, un corps mince et sec, taillé à la serpe. Et membré comme un taureau.

 

- Je vais vérifier que tu ne fasses pas de fausses déglutitions, dit-il, et surélevant un peu ma tête, il enfourne sa belle queue dans ma bouche en me maintenant. 

Je pompe, je pompe, je suis forcé de pomper, de pomper comme un dingue, car je veux lui faire prendre son pied, mais pas trop vite, avant tout c'est dans mon cul qu'il devra faire le plus gros du boulot.

Le bear, lui glisse sa grosse patte dans mon slip, empoigne ma verge qui transpire autant qu'un frisko en plein soleil, la branle sauvagement en me décalottant à fond ; puis, il la frotte contre son torse viril, insistant au niveau des mamelons, tantôt en douceur, tantôt avec rage comme s'il se tailladait le corps avec un poignard.

Enfin, sans m'y attendre il l'avale goulument, m'aspirant mieux qu'une trayeuse.

 

Quel pied ! Je taille et me fais tailler en même temps.

 

Mais ce petit jeu n'allait plus satisfaire très longtemps mes auscultateurs ;

Docteur pompeur, subitement, me tire jusqu'au bord de la table , soulève mes jambes et les positionne sur son épaule.

A son tour armé des ciseaux, il entaille mon froc au niveau de la couture qui souligne ma raie, la lame court le long de ma fente en m'arrachant un petit cri d'effroi.

Il déchire alors l'étoffe en même temps que mon slip;

L'infirmier monte sur la table en me faisant dos, s'accroupit et pose ses fesses duvéteuses sur ma gueule : Vas-y bouffe -moi le cul !

Je m'exécute aussitôt, ; je lèche, titille, absorbe... l'odeur de son fion me rend fauve, j'y plante mon nez, respire à pleins poumons ; si je le pouvais j'y passerai la tête entière.

Il exhale des soupirs d'aise, il couine presque, il adore ça.

Le bear, lui, m'enfonce deux gros doigts dans le trou, à vif, et triture comme s'il évidait une volaille.

C'est un peu douloureux mais je mouille rapidement, bientôt il m'honore d'un troisième doigt.

L'infirmier ajuste sa rosette contre ma langue plus famélique à chaque lapée, se penche en avant et se met à dévorer ma bite.

A ce rythme là, je sais que je n'en ai plus pour longtemps.

Mes comparses s'en apercoivent : j'halète, je gémis.

Changement de rôle.

Le bear monte sur la table, s'assoit sur ma poitrine, relève ma nuque d'une main implacable et m'oblige à pomper une queue digne d'un ours, décidemment celui là, à tout volé à l'espèce animal. Mon taureau d'infirmier, à côté de ça, c'est du carambar !

J'ai un mal de chien à la serrer entre mes lèvres, il pousse jusqu'à ma glotte, j'ai un haut le cœur, mais le bien qu'est en train de me donner l'infirmier annihile mon désagrément : il est agenouillé entre mes cuisses, et s'empiffre de ma rondelle, sa langue récure mes parois annales sans relâche parmi les lambeaux de mon jean et mon slip : j'ai l'impression d'avoir une essoreuse aux portes de l'anus.

L'heure x à sonné !

On me fait descendre de table, on me plaque contre le bord , je suis offert comme un gosse qu'on s'apprête à corriger. Je tourne la tête pour observer les préparatifs de ma punition.

Je panique à l'idée que la bite d'ours puisse me sodomiser, à coup sûr elle va m'exploser littéralement.

Mais c'est l'infirmier qui s'y colle, il crache dans sa main, me tapisse le fion et s'enduit la queue avant de me pénétrer doucement, je m'écartèle sans effort, les jambes grandes ouvertes

Le bear est passé derrière lui, et lui demande : tu es prêt ?

L'infirmier opine du chef, et sans autre attention son supérieur lui rentre dedans.

Putain, j'ai pas encore compris comment ce mec savait accueillir un tel chibre sans les préliminaires de circonstance ! On devait pouvoir y garer un camion dans son cul.

Et va la cavalcade !

Le docteur mène la danse : ses coups de butoir se répercutent dans mes entrailles. Il encule celui qui m'encule selon la cadence du premier.

Je suis au bord de l'évanouissement. Je m'astique le manche, j'en peux plus.

Soudain le doc pousse un râle de jouissance, l'infirmier se retire et me gicle dessus à bout portant, je suis le point de venir aussi.

Mais ils n'en ont pas encore fini avec moi, la main de docteur bear se substitue à la mienne, il me branle copieusement pendant que l'infimier chope une énorme seringue ; précautionneusement ce dernier enfonce le petit embout de plastique dans mon meatus et actionne le piston vers l'arrière. Aspirer de la sorte, mon foutre jaillit tout de go ; mes deux urgentistes s'empressent de le récolter entre leurs lèvres, là, sur mon bas ventre et mon torse, avant de le recracher dans ma bouche.

Je déguste ma propre semence.

 

Je suis sorti des urgences au petit matin, pantelant, les vêtements en lambeaux, le trou de balle défoncé et un insignifiant pansement sur le genou.

 



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